Saint Jean Chrysostome
Docteur de l’Eglise (344 ou 349 – 407)
« C’est une consolation pour un malheureux de raconter ses infortunes à des hommes, de leur confier ses chagrins, comme si la parole les faisait disparaître ; à plus forte raison, serez-vous ranimés et consolés, si vous découvrez à Dieu les misères de votre âme. Souvent l’homme est importuné par les plaintes et les larmes d’un malheureux ; il le dédaigne et le repousse. Il n’en est pas ainsi de Dieu ; Il invite, Il presse, vous Lui exposez longuement vos misères, Il vous en aime davantage, Il exauce vos prières. (…) Car c’est un Dieu de consolation, un Dieu de miséricorde (2 Cor 1,3), et sans cesse Il console, Il encourage les malheureux et les affligés, quels que soient leurs péchés. Allons, courons à Lui, ne craignons pas.»
(5ème Homélie contre les Anoméens, § 7, Œuvres Complètes, traduites sous la direction de M. Jeannin, Bar-le-Duc, L. Guérin & Cie éditeurs, 1864, Tome II, p. 231-232).
† Jésus, j’ai confiance en Toi
Le Seigneur disait à sainte Faustine : « Ma fille, … c’est à Moi que tu te confesses. Je Me dissimule seulement derrière le prêtre. N’analyse jamais quel est le prêtre derrière lequel Je me suis dissimulé, ouvre ton âme en confession comme tu le ferais devant Moi, et Je comblerai ton âme de ma lumière. »
(Petit Journal de sainte Faustine, § 1725)